Un intermédiaire ! Je lui fais appel ou pas pour faire mon travail?
24 août 2017
Les métiers évoluent et cela nécessite de plus en plus des connaissances particulières pour réaliser certains travaux. Les outils de travail sont équipés par des systèmes informatiques grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Elles contribuent au développement des autres secteurs d’activités. C’est le cas des entreprises dans la logistique internationale qui utilisent des systèmes pour mieux traiter une grande quantité de données et d’informations recueillies.
Il est possible que l’on assiste à la disparution progressive de certains métiers à cause de l’informatisation. Par contre, d’autres nouveaux métiers naissent selon la « destruction créatrice » de Joseph Schumpeter.
Sachant cette réalité, faites-vous appel ou pas à un intermédiaire pour réaliser un travail que vous auriez du mal à faire?
Oui, je fais appel à un intermédiaire
Pour les raisons multiples, on fait souvent appel à un intermédiaire si on ne sait pas grand-chose ou peu au travail à faire. Ces raisons peuvent avoir un lien avec :
- Plusieurs activités : nous avons des priorités et souhaitons nous concentrer sur ce que nous savons faire le mieux.
- La qualité : nous aimons tous, un travail bien fait et nous nous disons que quelqu’un d’autre le fera mieux que nous.
- Le manque de temps : nous n’avons pas du tout de temps pour s’en occuper. Le temps c’est de l’argent !
- Les difficultés de réalisation : C’est trop compliqué et nous n’y arriverons jamais.
- Ainsi de suite.
Il faut juste s’assurer que celui qui fera le travail, connaît bien son domaine. Il peut aussi être un professionnel mais l’important est de ne pas regretter le choix de la personne qui fera le travail à votre place.
Non, je ne fais pas appel à un intermédiaire
Il y a des personnes qui aiment relever des défis et que l’on attend des fois dire : « je vais essayer, je ne sais pas si je vais y arriver mais j’essaie tout de même ».
Ces gens se donnent tout le temps nécessaire pour s’informer sur le travail à faire. Ils apprennent sans cesse et pendant cette aventure, ils commettent des erreurs mais ne se découragent pas. « La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber mais de se relever à chaque chute ».
Qu’ils arrivent à faire ou pas le travail en question, l’essentiel pour eux est de s’adapter à tout changement dans la mesure du possible. Ils acquièrent ainsi des connaissances et des compétences que le marché de travail a besoin.
Ces personnes savent comment, non seulement apprendre de leurs erreurs mais aussi comment procéder pour faire ce que l’on veut vraiment faire.